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Tu manques
Tu me manques
Une pause, des silences
Sur une page blanche
Tu me manques
Et les mots font défauts
La guerre de Sarajevo
Tu me manques
Comme l’eau à la rivière
P’tite fourmi ouvrière
Tu me manques
Je ne suis plus qu’éteinte
Dans ce grand labyrinthe
Oui Tu me manques
Dans le flux de mes nuits
Quand mes larmes s’enfuient
Que mes bras te recherchent
Que mes lèvres se dessèchent
Tu me manques
Je ne veux plus écrire
Peut-être me laisser mourir
Il fait si froid en moi
Voilà que je noie
Tu me manques
Comme un soleil sans lune
Tu es l’ombre sous la dune
Et tu me manques
Tout au long de mes jours
Désertés de ton amour
Oui Tu me manques
Dans le flux de mes nuits
Quand mes larmes s’enfuient
Que mes bras te recherchent
Que mes lèvres se dessèchent
Tu me manques
Je ne veux plus écrire
Peut-être me laisser mourir
Il fait si froid en moi
Voilà que je noie
Comme tu me manques
Toi l’ami, toi l’amant, toi l’amour
Le mystère de mes jours
Oui tu me manques
Demain je ne sais pas
Sans toi je ne vis pas
Oui Tu me manques
Dans le flux de mes nuits
Quand mes larmes s’enfuient
Que mes bras te recherchent
Que mes lèvres se dessèchent
Tu me manques
Je ne veux plus écrire
Peut-être me laisser mourir
Il fait si froid en moi
Voilà que je noie
Oui Tu me manques
Dans le flux de mes nuits
Quand mes larmes s’enfuient
Que mes bras te recherchent
Que mes lèvres se dessèchent
Tu me manques
Je ne veux plus écrire
Peut-être me laisser mourir
Il fait si froid en moi
Soudain j’entends ta voix
Tu me manques
Tu m’offres un sourire
Pour m’apprendre à survivre
Tu me manques
Mais tu es là près de moi
Je n’ai plus du tout froid
Tu me manques
Ainsi va la vie
Je retrouve l’envie
Tu me manques
D’autres bras vont s’offrir
Et venir me guérir
Tu me manques
Je ne t’efface pas
Tu seras toujours là
Au fond de moi
Isabelle Vouriot – 18 août 2018 – texte déposé
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