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Ta muse

Je t’avais prévenu

Tu ne t’en souviens plus ?

J’ai toujours fais ce que j’ai dit

Pourquoi être ainsi surpris ?

 

Remémore-toi,

Cette affirmation comme une loi

Je t’avais signifié, qu’une fois morte,

De ta mémoire, j’ouvrirai la porte

 

Alors aussitôt la nuit venue

Même si je ne suis pas la bienvenue

Que tu ne veux ne peux m’aimer

Je me glisse dans tes pensées

 

Je susurre avec délicatesse

Des mots de tendresse

Couche-les sur le papier

Laisse-les-toi apprécier

 

Autrefois, nous avons goûté nos mots

Les tiens demeuraient les plus beaux

Dans tes nuits je me fais muse

Avec toi ultimo je m’amuse

 

 

Isabelle Vouriot — Texte déposé — 17 août 2017

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Coucher de Soleil

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