Adieu
L’heure était grave à leurs yeuxL’heure était aux adieuxDe ces adieux qui font malMal à me noyer dans des perles lacrymales. J’ai voulu le plus beau pour toiBeau comme était mon amour pour toiToi qui m’as faite femme et mèreFemme et mère aujourd’hui amère. Je voudrais hurler ma souffranceSouffrance si intense qu’elle n’est que silenceRavagée par un tsunami intérieurTsunami invisible pour mes amis protecteurs. Quand les gravas retombent sur ta tombeJe tombe quand dans le ciel une colombeUne colombe éclatante se pose sur toi.Eclate alors de nouveau la chaleur en moi. Je n’ai plus froid de ce manque en moiMe manque la caresse de tes doigtsTes caresses d’amour sur ma vieUne vie avec toi qui s’enfuit. Une vie sans toi qui commencePour toi aussi une autre vie commenceUn commencement d’éternitéUne éternité en toute tranquillité. Repose en paix mon amourMon amour tu seras en moi toujours… Isabelle Vouriot17 mars 2013 – tous droits réservés
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